Livre 1
Chapitre 1
Attente
Voili voilou, aujourd'hui j'ai mis 8 articles dont la moitié contient du texte intérressant pour vous. Alors content hein ? Ca compense pour la lenteur de d'habitude.
Chapitre 1
Attente
Je relève la tête. Combien de temps ai-je passé à écrire ? D'après la lumière, je dirai 4 bonnes heures. D'autres liasses de papier ont été déposés dans ma cellule sans que je m'en aperçoive. Cela tombe bien j'allai commencer à en manquer.
J'ai une drôle d'impression, comme si quelqu'un m'observait. Ba, soit c'est mon imagination, soit on me surveille de près. Tiens, le siato a perdu de son effet, je peux leviter maintenant, un peu, enfin comme une personne normale quoi. Zut ils ont pensés à tout : la cellule est basse de plafond et la porte est en bois de zablub, je ne peux donc rien faire. Tant pis c'est pas comme ça que je m'échapperais.
Ha non, c'était pas mon imagination, il y avait bien quelqu'un qui m'observait. Ce quelqu'un est allé prévenir un autre quelqu'un que j'avais fini de gribouiller et ce dernier quelqu'un vient me rendre visite. On ouvre la porte. Toujours et encore lui. Je soupire. Il me demande si c'était bon (mon repas), je lui répond par un haussement d'épaule. Il me demande s'il peut lire ce que j'ai écrit. Je lui répond que ce n'est pas une question et qu'il ne me demande pas mon avis ni mon autorisation puisqu'il le tient déjà dans ses mains. Il sourit. C'est rare chez lui. Je lui demande simplement de me laisser le manuscrit pour correction éventuelle. Il acquiesce. On apporte un fauteuil dans la cellule où il s'assoit nonchalamment.
Et moi je suis sensée faire quoi ? Le regarder sans broncher, en attendant qu'il ai finit et qu'il me donne ses commentaire ? Pffff, j'ai plus qu'à rester assise et à attendre. Il n'aime pas être dérangé.
Je commence à chanter. Il me regarde et baisse les yeux vers le passage qu'il est en train de lire. C'est la chanson que Galba et moi avions inventé au collège, en 3ème, avant cette année fatidique. Elle est rigolote et jolie. Un peu bête aussi, mais on était petite à l'époque. Ha Galba, comme je suis fière de toi maintenant. Et toi qui ne sais jamais si je suis morte ou en vie.
J'enchaîne sur une chanson plus triste que Diane m'avait apprise. Elle est triste et mélancolique, mais d'une irrésistible beauté. Tu me manque Diane. Si je pouvais faire quoi que se soit pour que tu sois là, je le ferais, et j'espère qu'il le sait.
Il a enfin fini de lire. Il paraît plutôt content. S'il croit avoir les infos qu'il cherche avec la suite il se trompe. Il me rend mes papiers et sort. Bizarre, j'aurai juré qu'il avait quelque chose à me dire .
------------------------------J'ai une drôle d'impression, comme si quelqu'un m'observait. Ba, soit c'est mon imagination, soit on me surveille de près. Tiens, le siato a perdu de son effet, je peux leviter maintenant, un peu, enfin comme une personne normale quoi. Zut ils ont pensés à tout : la cellule est basse de plafond et la porte est en bois de zablub, je ne peux donc rien faire. Tant pis c'est pas comme ça que je m'échapperais.
Ha non, c'était pas mon imagination, il y avait bien quelqu'un qui m'observait. Ce quelqu'un est allé prévenir un autre quelqu'un que j'avais fini de gribouiller et ce dernier quelqu'un vient me rendre visite. On ouvre la porte. Toujours et encore lui. Je soupire. Il me demande si c'était bon (mon repas), je lui répond par un haussement d'épaule. Il me demande s'il peut lire ce que j'ai écrit. Je lui répond que ce n'est pas une question et qu'il ne me demande pas mon avis ni mon autorisation puisqu'il le tient déjà dans ses mains. Il sourit. C'est rare chez lui. Je lui demande simplement de me laisser le manuscrit pour correction éventuelle. Il acquiesce. On apporte un fauteuil dans la cellule où il s'assoit nonchalamment.
Et moi je suis sensée faire quoi ? Le regarder sans broncher, en attendant qu'il ai finit et qu'il me donne ses commentaire ? Pffff, j'ai plus qu'à rester assise et à attendre. Il n'aime pas être dérangé.
Je commence à chanter. Il me regarde et baisse les yeux vers le passage qu'il est en train de lire. C'est la chanson que Galba et moi avions inventé au collège, en 3ème, avant cette année fatidique. Elle est rigolote et jolie. Un peu bête aussi, mais on était petite à l'époque. Ha Galba, comme je suis fière de toi maintenant. Et toi qui ne sais jamais si je suis morte ou en vie.
J'enchaîne sur une chanson plus triste que Diane m'avait apprise. Elle est triste et mélancolique, mais d'une irrésistible beauté. Tu me manque Diane. Si je pouvais faire quoi que se soit pour que tu sois là, je le ferais, et j'espère qu'il le sait.
Il a enfin fini de lire. Il paraît plutôt content. S'il croit avoir les infos qu'il cherche avec la suite il se trompe. Il me rend mes papiers et sort. Bizarre, j'aurai juré qu'il avait quelque chose à me dire .
Voili voilou, aujourd'hui j'ai mis 8 articles dont la moitié contient du texte intérressant pour vous. Alors content hein ? Ca compense pour la lenteur de d'habitude.