Shikayachan

Les écrits de Shik-Aya-Chan

Livre 1

Chapitre 2

Tatouage

Diane sortie du temple peu avant moi. Pour ma part, je restais assise au milieu de la salle, a regarder les représentation diverse des déesses. Quand je me sentis totalement calme, je décidais de renter chez moi. Je pris le même chemin qu'a l'aller, par les toits. J'aurais pu renter chez moi sans encombre et mener jusqu'à ma mort une vie tranquille et normale si je n'avais vu une ombre croiser mon chemin à quelque dizaine de mètres devant moi. Intriguée, j'essayais de la suivre. Ce n'était pas facile car elle était rapide et je ne la distinguais pas bien dans la nuit, sans un rayon de lune, qui était de toute façon arrêté par le feuillage de l'arbre, pour l'éclairer. Elle ne m'avait pas repérée malgré le bruit que faisaient mes pieds sur les toits. L'ombre l'ombre obliqua légèrement vers moi. Je commençais à être fatiguée. La lévitation consommait beaucoup d'énergie et je courais et sautais en même temps. Je décidais d'utiliser une dernière fois la lévitation pour accroitre ma vitesse. Je comptais l'attraper pour voir à quoi cette ombre mystérieuse ressemblait. Je me disais que c'était peut être un démon. Je réussis à me placer devant elle. J'ouvris les bras pour l'attraper mais je glissais sur une tuile. Je n'avais plus assez d'énergie pour enclencher la lévitation. Avant de toucher le sol je me cognais la nuque et la tête sur un volet ouvert. J'en fus assommée. Quand je me réveillais c'était le matin et j'étais dans ma chambre en pyjama. Je me levais pour voir si ma robe était rangé à sa place : elle l'était. Je me dis que je devais avoir rêvé la scène de la veille. La seule chose qui me persuada du contraire était un gros bleu violet d'une forme bizarre sur la nuque, sous les cheveux. Elle avait la forme d'une patte de chat et avait un croissant de lune blanc ( la couleur de ma peau) dedans. Cette partie n'était pas bleui par la blessure. Étrange.
Je me préparai et parti pour l'école. Galba m'attendais à notre coin habituel. En chemin, elles me raconta toutes les rumeurs qu'elle avait pu glaner après la fin des cours. La seule intéressante était que les jumeaux habitaient plus près de l'école que moi. Ce qui pouvait signifier deux chose : ou leurs parents étaient fortunés, ou ils occupaient un poste respecté qui donnait droit à des avantages. Diane nous attendait à l'entrée, devant le portail. J'apercevais de loin Apollon à l'intérieur
en train de discuter avec quelque garçon. Diane ne parla pas des péripétie de la veille. Nous parlâmes d'école, du contrôle de géographie du lendemain ( Berk), de trucs de filles... Laetitia, son amie et leurs bande nous rejoignirent vite. Une joyeuse ambiance s'installa. J'en oubliait la tension pesante de la veille au déjeuner. C'était assez agréable. Voyant ça, Apollon se risqua même à venir nous rejoindre et à participer à la conversation, tout en se tenant bien loin de moi. Il avait raison, je ne lui avait toujours pas pardonné son attitude.

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Voila c'était un peu à venir et à lire mais je n'ai pas trop le temps d'écrire et de taper en ce moment. Pas d'autre article ou d'image pour l'instant mais ça va venir.
Edit : J'ai pas le temps de taper la suite mais je continue à l'écrire. Pendant les vac j'essayerai d faire de mise à jours, mais je promet rien.

Fin de la fic ! Abandonnée !
Série : Naruto

Titre : Une Attirance Angelico Démoniaque

Auteur(e) : Shik-Aya-chan ou Aya

Résumé : A la suite de quelques maladresses, Gaara s'avoue être attiré par Naruto. Le petit Blond tombera-t-il dans ses filets ? UR, Un peu OOC, NaruGaara

Genre : Romance, Humour

Classement : Tout Public /!\ Cette fiction contient du Yaoi, du Slash, ce qui veux dire que cela décrit des relations amoureuses entre hommes /!\

Couple(s) : Principalement NaruGaara, Sinon en fond, SasuNeji, InoSaku, KibaHina, ShikaTema, KakaIru, KonoMoegi, et je crois que c'est tout.

Disclamer :
Rien ne m'appartient, de toute façon je ne les mérite pas ...


*Oo0.°.0oO*

«-C'est moi le plus grand !

-C'est moi le plus beau !

-C'est moi le plus fort !

-Ça c'est pas vrai ! C'est ton bijuu qui est fort ! Pas toi !

-Ha oui, tu veux tester ?
-Quand tu veux !»

Ça faisait un moment qu'ils faisaient ça. Gaara n'avait pourtant jamais eu cette attitude avec personne d'autre, même pas avec son frère. Ils sortirent un kunai et commencèrent à se battre joyeusement. En général ils s'arrêtaient quand la fatigue arrivait, comme ça pas de drame. Mais cette fois la Naruto trébucha et tomba sur Gaara, ses bras de chaque coté de son ami, l'arme toujours à la main. Gaara, lui, était en croix, ne serrant plus sa lame, regardant son adversaire dans les yeux. On aurai dit que Naruto s'était déconnecté. Ses yeux étaient embué, mais pas comme s'il allai pleurer, plutôt comme si des nuages avait recouvert le ciel. Inconsciemment, le blond baissa la tête petit a petit, très lentement. Gaara ne réagissait pas. Bizarrement il n'en avait pas envie. Il regardait les magnifiques yeux océans de son partenaire. Il n'avais pas envie de se détourner.

Au bout d'un moment les lèvres de Naruto se posèrent sur celle du roux en un baiser timide, hésitant. Soudain, Naruto se réveilla de sa transe. Il se jeta en arrière et recula rapidement. Il protégea sa tête de ses bras en répétant «Pardonne moi Gaara, je ne voulais pas faire ça, je n'y aurai jamais pensé, je suis désolé, ne me tue pas ,pardonne moi, je l'ai pas fait exprès !»

Gaara se releva, épousseta ses vêtements, ramassa son kunai et le rangea. Il avança pour se planter devant Naruto. Pendant quelques secondes il ne bougea pas. Il tendit finalement une main réconciliatrice à son ami. Naruto attrapa lui attrapa le poignet avec un sourire. Gaara profita de l'inertie pour jeter le blond contre son torse. Il passa une main sous le bandeau de son rival et plongea les doigts de cette même main dans ces doux épis de blé. Il finit par déposer un baiser sur la joue du porteur de Kyubi avant de tourner les talons. Naruto resta estomaqué et choqué. Il se reprit et décida de renter chez lui. Il repensa à la scène qui venait de se dérouler. Gaara s'était laissé embrasser, il avait pardonné et avait renvoyer un signe d'affection. Était-il gay, comme Sasuke ou Neji ?

Le blond sourit en pensant aux deux garçons. Ils s'étaient beaucoup rapproché après l'examen chunnin. Et ils sortaient désormais ensemble. Il rigola franchement en repensant à la tête de Sakura quand elle les avait vu s'embrasser alors qu'elle n'était pas au courant de leurs relation : à mourir de rire. Finalement, Naruto ne pensa plus du tout a l'incident de toute la soirée de la matinée.

Le lendemain, il se leva à 11h et prépara son sac. Il se dirigea vers le terrain d'entrainement n°7 où Gaara et lui jouaient quotidiennement leurs fameux affrontements depuis le fameux examen. Naruto s'aperçut qu'il était le dernier. Le couple donnait pas un bon exemple de passion mais on sentait l'affection qui liait les amoureux. Ils étaient assis, Neji avait la tête appuyé contre l'épaule de Sasuke et lui tenait la main. Sasuke jouait quant à lui avec les longs cheveux de son amant. A quelques mètres, Lee montrai à Kankuro une nouvelle prise que Gai sensei lui avait appris. Temari refaisait précautionneusement ses couettes. Shikamaru regardai négligemment de son coté. Shino observai une coccinelle. Chôji mangeai un paquet de gateau. Kiba et Hinata roucoulaient. Tenten farfouillait dans son sac. Ino et Sakura discutaient et riaient de leurs coté. Elles se tenaient les mains. A les voir dans cette position on aurai seulement dit de très bonnes amies. Il n'y avait que quand elles s'embrassaient qu'on soupçonnait qu'elles formaient un couple. Quand le blond arriva au niveau des autres, Gaara lui souris, chose déjà rare, avec une lueur malicieuse, chose qui n'avait jamais été vu par personne (Nda: ça fait peur ...).

Ils avaient décidé de laisser les entrainements de coté pendant une journée et avaient prévu de faire un pique nique tous ensemble. En voyant arriver Naruto, ils ramassèrent leurs sacs et se levèrent. Ils se dirigèrent tous ensemble vers la porte du village. En entrant dans la foret ils commencèrent à courir et à sauter sur les branches. Par envie. Par plaisir. Pour le vent hurlant à leur oreilles et ébouriffant leur cheveux. Pour la vitesse. Pour la hauteur. Pour toute ces choses extrêmement jouissives quand on y pense mais qu'on ne remarque pas parce qu'on est concentré ou qu'on pense à autre chose. Une course s'improvisa entre les garçons, seuls Shikamaru, Chôji et Kankuro restèrent avec les filles. On entendit bientôt le cris de victoire de Lee. Il avait franchi la lisière avant les autres et les attendait maintenant à quelques dizaines de mètre de la foret. La ballade n'avait duré qu'un quart d'heure mais avais été plaisante et apaisante. En arrivant Ino sortit 4 grandes nappes et les disposa en carré. Temari sortis les 2 grands parasol qu'elle avait amené et les planta dans le sol. Le reste du groupe sorti la nourriture, les bouteilles, les couverts et la vaisselle en plastique qu'ils posèrent au centre. Hinata déposa un baiser sur la joue de Kiba en s'asseyant. Il lui répondit d'un regard tendre qui fit fondre toute les filles de l'assemblée. Les autres couple s'assirent bien évidemment à coté. Shika se laissa tomber nonchalamment à coté de Temari qui lui lança son plus joli sourire. Il fit mine de ne pas avoir remarquer mais tout le monde vit que son visage avait soudainement viré au rouge. Ino enleva un insecte des cheveux de Sakura. Leurs histoire était quelque peu étrange. Elles avaient été dégoutée et déçue en découvrant que Sasuke était pris, par un garçon.

Au début, elles s'étaient jetée dans les bras de l'autre par dépit et désespoir mais elles avaient fini par s'aimer réellement. Gaara s'assit tranquillement à coté de Naruto. On confia la responsabilité à Shino et Kankuro de surveiller Chôji pour qu'il ne dévore pas tout à lui tout seul. Cela n'était pas nécessaire car chacun avait amener assez pour que 20 personnes puissent manger et finir rassasiées. Autant dire beaucoup. Le déjeuner se passa joyeusement, ponctué d'éclats de rire. Tous le monde participa à la conversation et même Shino aligna quelque phrases, de même pour Gaara. A la fin du repas, Naruto se leva et tourna autour du cercle que formait ses amis. Il s'arrêta finalement derrière Sasuke. Le taciturne se leva et lui fit face, flairant quelque chose. Naruto eu un sourire carnassier. Le blond se jeta sur son rival et le plaqua à terre. Avant qu'il ne puisse réagir, le jinchuuriki paralysa son adversaire à coup de chatouille. A la plus grande surprise du groupe, Sasuke éclata de rire, se tortilla, s'étouffa, se débattit. Personne ne savait qu'il était chatouilleux ( à part Neji). Personne ne l'avait assez approché et assez touché pour découvrir ce point faible. Neji se décida à intervenir. Il attaqua le blond de ses doigts habiles aidé de son brun à lui. Naruto réussi a plaquer Neji au sol et lui rendit sa traitrise, très vite rejoint par son amant ( à Neji). Le public était médusé par cette soudaine bataille de chatouille totalement improvisée, mais fut tout de même amusé par ce spectacle très distrayant.

Naruto arrêta bien vite, mais Neji se fit menaçant. Naruto couru de cacher derrière Sakura
, qui lui donna un bisou sur la joue (Nda: Maintenant qu'elle sort avec Ino elle est beaucoup plus sympas avec Naruto et en particulier Naruto). Les garçons déclarèrent forfait devant l'élève de Tsunade. Naruto s'allongea, tangent au cercle, et regarda passer les nuages. Gaara, vif comme l'éclaire, se posta derrière Temari. Il l'attrapa sous les aisselles et la traina hors du cercle. Il essaya de la chatouiller elle aussi, mais sa s½ur ne réagit pas. Elle n'était pas chatouilleuse, chose que Shika nota dans un coin de sa tête (Nda: on sait jamais, ça peut toujours servir). Temari attrapa son petit frère et le jeta sur ses épaule. Elle tourna ensuite sur elle même. Gaara resta d'abord stoïque., puis on visage afficha une légère expression. Il demanda d'un ton indifférent qu'elle le repose par terre, une fois, deux fois. A la troisième de l'énervement perçait dans sa voix. Il haussa le ton et finit par hurler et supplier se s½ur de le poser par terre. Elle le jeta à terre d'un air satisfait. Il retourna s'assoir à coté de Sakura, tandis que les autres essayaient de caché ou de taire leur fou rire. Mécontent le roux bouda quelques minutes (Nda: très inhabituel).

Il eu ensuite une idée. Il cueilli un brin d'herbe et alla chatouiller le nez du blond. Naruto, allongé, les yeux fermé, agita sa main pour chassé l'insecte importun, et comme il ne se décidai pas à déguerpir il ouvrit un oeil. Ce qu'il vit ne lui plus pas : une langue de sable tenait une tige d'herbe. Il se lava tranquillement et se dirigea vers Gaara. Celui ci se raidit. Il l'enlaça et défit la sangle qui retenait la bombonne de sable dans le dos du ninja de Suna. Il la déposa plus loin. Le guerrier de Konoha attrapa ensuite son ami par la taille et le jeta derrière lui. Il s'assit sur son bassin pour l'empêcher de bouger et commença à le chatouiller sans ménagement. Gaara se débattit en souriant mais ne pouvait pas bouger. Il réussit finalement a inversé la situation et contrattaqua. Naruto repris ensuite sa place au dessus et lui rendis la monnaie de sa pièce. Ils tournèrent ainsi plusieurs fois avant que Gaara ne se lasse du jeu. Naruto n'était pourtant pas décider à s'arrêter. Gaara le prévint «Arrête Naruto, ça suffit». Naruto arrêta les chatouilles mais ne se leva pas. «Laisse moi me lever». Naruto le regarda mais ne bougea toujours pas. Exaspéré, Gaara se leva à demi sur les coude et déposa un baiser sur les lèvres de Naruto. Le blond sursauta et se leva précipitamment. Gaara lui sourit : il avait eu ce qu'il voulait, se lever, et même un petit plus.

Le public était ce jour la à sa troisième surprise. Ils se demandèrent quel serai le prochain truc qui leurs tomberai dessus. Naruto finit par s'endormir sur l'herbe, suivi de Shikamaru et Akamaru. Gaara l'observa pendant une bonne partie de sa sieste. Vers la milieu de l'après midi, ils décidèrent de rentrer. Sakura réveilla doucement Naruto pendant que Temari secouai Shikamaru. Kiba rangea son chien dans son manteau, le laissant dormir. Naruto s'assit et se frotta les yeux comme un petit enfant. Gaara pensa la bouille de Naruto encore engourdi par le sommeil était la chose la plus mignonne qui soit. Quand il avait regardé Naruto dormir, il s'était rendu compte du contraste entre le Naruto endormis, vulnérable innocent, et le Naruto conscient, combatif et impulsif. Il en avait été presque choqué. Quelle différence ! En rangeant le groupe entendit distinctement Shikamaru demander à Temari si elle voulait bien l'accompagner boire un café. Il pensa avoir été discret, mais tous sourirent en le voyant rougir.

La deuxième partie de l'après midi consisterai à s'occuper de soi égoïstement et de faire selon son envie du moment. Sasuke et Neji allaient s'amuser tranquillement dans leur coin. Ino et Sakura feraient les boutiques et Kiba et Hinata allaient faire prendre un bain aux chiens de la famille Inuzuka, et sans doute après ça d'autre chose plus coquines. En partant, Shino murmura a Kankuro :

«-Gaara change ces derniers temps.

-C'est vrai, j'ai été surpris par ses attitudes cet après midi.

-Je crois qu'il est amoureux.

-Tu te bases sur quoi pour dire ça ?

-Regarde Sasuke,il était froid avant, moins que Gaara mais on peut citer son exemple. Il est tombé amoureux et s'est adoucit, socialisé. Maintenant c'est un gros nounours affectueux ! n.n

-J'aurai jamais cru entendre ça de ta bouche. Mais je pense que tu as raison. Ce sont des expériences nécessaire pour se construire. D'ailleurs, toi, pendant ce déjeuner, tu aurais pu te lâcher, comme les autres.

-J'étais sur que ça allait me retomber dessus»

Shino soupira. L'homme aux marionnette sourit. Ils partirent ensuite en direction du village.

Naruto voulait aller aux bain public, et Gaara avait décider d'en faire autant, alors il suivit Naruto. Ils se séparèrent pour aller chercher leurs nécessaire de toilette mais se retrouvèrent un quart d'heure plus tard devant l'entrée. Pour une fois, Naruto se dirigea vers l vestiaire masculin. Ils se déshabillèrent et gardèrent juste une petite serviette autour de la taille. Gaara du laisser la totalité de son sable dans les vestiaire, ordonnant donc à sa protection permanente de se retirer. Laver du sable n'a absolument aucun intérêt. Naruto s'assit sur un tabouret en face d'un lavabo. Gaara fit de même. Le blond savonna et frotta sa peau légèrement bronzée. Il passa un gant de crin sur les partie savonnée pour enlever les peau morte et rendre celle-ci plus douce. Gaara était totalement fasciné. Il le regardait sans bouger. Naruto se renversa une bassine d'eau sur la tête, pour enlever le savon et la crasse nouvellement enlevé. Geste tellement sexy que cela fit tourné la tête de Gaara (Nda: et pas que lui. Pardon je me tais), soudainement pris de vertige. Ce n'était pas possible. Le faisait-il donc exprès ? Naruto pris une noisette de shampoing dans sa main et commença à masser doucement sa tête. Le produit moussa, donnant une texture vaporeuse aux magnifique cheveux blond. Il étala le produit et continua ses mouvements de doigts sur son crane. Gaara trouva ces gestes d'une sensualité extrême. Faisait-il ça pour le tenter ou ne se rendait-il même pas compte de l'effet qu'il produisait ? Naruto se rinça les cheveux. Il tourna ensuite la tête vers son ami, et pendant les quelques secondes qu'il mit à réagir, Gaara put observer les muscles fins dessinés sur le torse du porteur de Kyubi : des pectoraux légèrement proéminent, des abdominaux ressemblant à des tablettes de chocolat qu'il avait furieusement envie de lécher (Nda: Gaaaaaaaaaa ...). Le roux se reprit néanmoins et fit un sourire timide aux nouvel objet de ses désirs.

Il se savonna rapidement et lava vite ses cheveux. Quand Naruto se leva pour entrer dans le bain, Gaara le mata une fois de plus. De belles cuisses musclée, de longues jambe un dos délicat.

Gaara se décida à agir. Il n'allait pas, comme les autres fois, laisser passer cet attirance. Cette fois il allai conquérir. Qu'importe si c'était un garçon, ça n'avait l'air de gêner personne dans le coin. Alors il n'allai pas se gêner, lui.

Naruto était tranquillement assit dans le bain, en train de se détendre. Il n'y avait pas foule à cet heure de la journée : un vieil homme et son petit fils et un homme d'age mûr, un peu plus vieux que Kakashi. Parfait. Il allai pouvoir attaquer. Il entra dans le bain et s'assit à coté de Naruto, très proche de lui. Il se détendit. Au bout d'un moment, il fit semblant de s'endormir. Pourvu que Naruto ne se rappelle pas qu'il ne dormait jamais ! Il posa sa tête sur l'épaule de son ami. Plus tard, il lui attrapa le bras et le serra contre lui à la manière d'un enfant avec sa grosse peluche. Naruto ne réagit pas mais se raidit. Il était très tendu. Gaara décida d'arrêter là. Il resta dans cette position. Petit à petit Naruto se détendit. Ils restèrent dans cette position un moment, jusqu'à ce que le blond s'endorme , et pour de vrai. Gaara savoura ces instants, même s'il espérait que cela se reproduirai. Il se dégagea t doucement et regarda son ami dormir, pour le deuxième fois de la journée. Au bout d'un moment il finit par le réveiller.

«Naruto, réveille toi, si tu reste trop longtemps, tu vas t'évanouir et ton cerveau va fondre. Tu n'as pas besoin de ça n'est-ce pas ?» (Nda: Mouhahahahaha, morte de rire !!!!)

Naruto grommela un juron. Et se leva et les deux garçons se rhabillèrent dans les vestiaires. En sortant des bains, Gaara donna rendez-vous au blond sur les coups de 7 heures. Ils avaient quelques heures devant eux. Naruto rentra chez lui et joua à la console jusqu'à l'heure du rendez-vous.

En se dirigeant vers le stand, il pensa soudainement qu'il n'avait jamais passé autant de temps avec Gaara et qu'ils n'avaient jamais été aussi proche. Fidèle à son habitude, il repoussa la pensée et n'alla pas jusqu'au bout du raisonnement. Il pensa plutôt aux nouilles que Gaara allai lui payer. Gaara était déjà assis, en train de parler à Ichiraku. En l'entendant arriver, le roux se tourna et lui sourit. Dieux que ce sourire joyeux était magnifique. Naruto commanda coup sur coup 5 bols de ramen qui furent engloutis en moins d'une demie heure. Le diner s'expédia vite. Gaara s'était contenté d'un seul bol. Après le repas, ils purent discuter :

«-T'as fais quoi après les bain ?

-J'ai joué à la console. Un jeu de baston génial tirée d'une série télévisée. Et toi ?

-Ba, j'ai croisé Neji et Sasuke, on a discuté une bonne heure (Nda: une discution entre glaçon ça donne quoi ?). Ensuite j'ai trainé dans la ville. J'y ai vu des tas de trucs surprenants.

-Raconte !

-Shika et Temari penchés l'un vers l'autre à la table d'un café. On voit qu'ils se rapproche tous les deux.

-Ils restent assez timide.

-Peut-être, mais ça va se faire rapidement à cette allure la. Autre chose : j'ai surpris Kakashi dans une drôle de position. Il coinçait à demi Iruka contre un mur avec sa main. Assez intime comme position, c'était surement pas un simple flirt. Iruka rougissait mais ne faisait rien pour l'éloigner.

-O.O ...

-Naruto, Youhou !

-J'suis choqué !

-T'aurais du t'y attendre. De toute façon, je pense qu'ils se font discret. En fait j'ai surpris beaucoup de couples.
Comme Konohamaru en train d'offrir une fleur à Moegi.

-Je le savais qu'il était amoureux d'elle. Il a du se décider en voyant le nombre de couple qui se sont formé ce printemps.

-Dont les couples improbables. Y'en a, on a toujours cru qu'ils était hetero, et pis un truc se passe, et ils deviennent homo comme c'est pas permis.

-Hein, pourquoi tu dis ça ? (Nda: On se le demande...)

-Je pense que tout le monde les prend en exemple mais ... Neji et Sasuke.

-Et alors ? Je vois pas ...

-Tu soupçonnais qu'ils étaient gay, toi qui les connaissais ?

-Ça m'a pas surpris. C'était deux glaçon ces types. Pis, ils ont plein de point commun.

-Si tu le dit ...

-Moi j'aurai cité Ino et Sakura. J'étais estomaqué quand j'ai réalisé ! Elles étaient totalement hetero, et on le
sais puisqu'elles aimaient Sasuke.

-Moui. Mais mon avis c'est qu'il y a quelque chose dans l'air. Au fait t'as prévu quelque chose pour ce soir ?

-Non

-Ça te dirai de mater un film ?

-Ça marche pour moi !

-Par contre ce sera chez toi. L'appart' qu'on nous a donné n'a ni magneto, ni télé.

-Ok !»

Ils choisirent un bon film d'action. Naruto mena Gaara à son studio. C'était la première fois qu'il venait. Ce n'était pas aussi sale qu'il l'aurai imaginer. Un peu bordelique mais seulement dans des zones délimitées. La porte d'entrée donnais directement sur la cuisine/salon/salle à manger. Adroite de l'entrée trois portes : Chambre, salle de bain, toilettes.

«-Tu veux boire quelque chose ?

-Non merci

-A ta guise.»

Le roux s'installa sur le canapé deux places pendant que le blond lançait le film. Ils le regardèrent tranquillement pendant une demie-heure. Mais Gaara voulu tester son ami. Une tête sur son épaule. Ok, il réagissait pas. Une main sur la sienne. Pas de réaction. Il était concentré sur le film. Et si on attrapait sa main comme ça ? Ha il attrapait le noeud de leurs mains avec la deuxième. Ça se présentait bien. Bon passons aux choses sérieuses. De légers baisers dans le cou. Il frissonna. C'est une réaction normale ça ? Dans le doute le roux continua. Il le lâcha tout doucement.

«-Heu, Gaara, tu te sens bien ?

-Chuuut ...

-Gaara, tu sais ce que tu fait ?

-Tais toi et apprécie.

-Je m'assure que tu sais ce que tu fais et ...»

Le voilà embrassé par le ninja du sable. D'abord surprit il ne résista pas. Il n'y résista pas. Il lui rendit son baiser. Le roux posa une main sur son torse. Le blond posa la sienne sur sa cuisse (de Gaara évidemment). Ce dernier lui attrapa la nuque et approfondis le baiser. Naruto s'écarta ensuite tout doucement. Le porteur du tanuki le regarda, étonné.

«Avant qu'on s'emporte, je préfère arrêter, comme aux entrainements. Je viens de comprendre que je suis gay et attiré par toi, c'est assez d'émotion pour la soirée.»

Gaara le ré-embrassa. Qu'est-ce qu'il était sexy, pensa-t-il ! Tant pis pour ce soir, ça se passerai bien assez vite ...


XXXXXXX

Aya: Voili voilou ma première fic Naruto.
Naruto: Pourquoi je suis pas avec Sasuke ?
Aya: Y'a vraiment beaucoup de fic Narusasu, et trop peu de Narugaara. Pis vous êtes tellement mignon. Deux petits anges possédés par d'affreux démon ...
Kyubi: Tu sais ce qu'il te dis l'affreux démon ?
Aya: Toi, tais toi. T'apparais même pas dans la fic, t'as pas le droit de parler.
Gaara (ironique): tu lui as bien cloué le bec dis donc.
Aya: Ho ça va. Dis moi ce que t'en penses au lieu de faire des réflexions.
Gaara: peux mieux faire ...
Neji: hé c'est quoi tout ces couples bizarres ?
Aya: Quoi ça te plais pas d'être avec Sasuke ?
Neji: Si si mais c'est pas très commun.
Aya: Vas voir les fic des autre si t'es pas content des miennes.
Sur ces belles parole pleines de sagesse, je vous salue bien bas et vous remercie , ami lecteur ( et un petit com' ça mange pas de pain !)

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Première publication sur ff.net le 16/01/09 --> ici
Série : Naruto

Auteur : Shik-Aya-chan

Titre : Cruelle désillusion

Genre : Death-fic, Drâme, One-Shoot

Rating : K+

Couple : Aucun, enfin c'est pas mentionné. Si vous voulez vous imaginez un SasuNaru

Résumé : Naruto pleure la perte d'un être aimé et se prépare à faire une bêtise. Qui peut bien être cette personne ?

Disclaimer : Seule Icara m'appartient. Je ne suis pas digne de posséder Naruto et les autres. Le seul que je veux pour mon anniv' c'est Neji.

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Non, Non, NON, NON ! La douleur transperce mon corps de part en part, aucun membre, aucune parcelle de chair n'étant épargnée. Mon c½ur s'émiette en millier de petits morceaux, piétinée ensuite par la tristesse et la douleur. Ma respiration ne fait mal, vivre me fait mal !

Hé, Gamin !

Comment, quand, pourquoi ? Il ne fallait pas, ça n'aurai jamais du arriver, on aurait du mieux la surveiller, j'aurai du mieux la surveiller, j'aurai du insister pour la surveiller. Sa mort est impossible. Je la voie encore sourire et courir, pleine de vie. Comment cela a-t-il pu se passer, comment la vie, à laquelle elle s'accrochait tant, a-t-elle pue la quitter ?

Gamin, écoute-moi.

J'aurai été prêt à donner ma vie pour la sienne. Ma vie rien que pour son unique bonheur égoïste et paisible. Je serai prêt à tout sacrifier pour elle. Quitte à ne plus jamais manger de ramen, tuer tous mes proches de mes propres mains, sacrifier le village de Konoha, orchestrer la destruction de l'univers, envoyer mon âme en enfer pour l'éternité, prêt à faire tout cela, pour sa seule vie.

Petit, tu m'entends ?

Elle était devenue ma rédemption, ma chance d'être pardonné, d'être aimé, mon bonheur, mon rayon de soleil, la raison pour laquelle je me levais le matin, la personne que je voulais protéger, ma motivation pour le titre d'Hokage. Mon c½ur ne battait que pour elle, je ne respirais que pour elle, je ne nourrissais que pour elle. Mes yeux n'aspiraient qu'à la voir elle. Mes oreilles ne voulaient servir qu'à écouter sa voix, son rire. Mon nez ne voulait humer que son odeur. Mes doigts ne bougeaient que pour caresser à nouveaux ses cheveux.

Qu'est-ce qui te chamboule à ce point ?


Elle était tout pour moi. Je voulais lui dédier ma vie. Elle aura du être mon amie, ma s½ur, ma mère, ma gouvernante, mon institutrice, et d'autres qualificatifs encore.

Mais de qui tu parles ?

Icara ! Icaraaaaaaa ... Mon chaton, mon adorable petit chat, ma neko-chan, ma soeur, mon unique famille.

Qui pleures-tu bordel ?

La journée que j'ai passée avec toi a suffit pour changer ma vie, ma personnalité, mes désirs, mes espoirs, mes rêves. Je t'ai promis de revenir te chercher et de te protéger. Mais on ne m'en a pas laissé le temps. Le destin, la mort a fauché ton petit cou et t'a retiré à mes bras.

Explique-moi Gamin !

Sans toi, je reviens à l'état initial. Seul, désespérément seul, au milieu d'une foule hostilement indifférente. Les efforts que j'ai faits pour en arriver là où je suis ne valent plus rien, et je n'ai plus la force de grimper encore une fois la pente savonneuse après avoir lâché prise. Seuls tes yeux me redonnaient confiance et joie de vivre, ainsi que la force de continuer et de recommencer, ce que mes proches durement ralliés n'ont jamais réussit à faire. Grace à toi, je voyais la beauté et la joie dans ce monde.

Hé, qu'est-ce que tu comptes faire ?


Ca ne sert plus à rien, à rien du tout. Autant arrêter là. Je suis désormais seul, et cela pour l'éternité. Tu m'avais sortis des ténèbres et on vient de m'y replonger. Je me noie dans ma propre douleur et tu n'es plus là pour me remonter vers la surface. On vient de me creuser un trou bien profond et de m'y précipiter. Malheureusement, sans vraiment le vouloir, mais un peu quand même, je le rebouche pour ne plus pouvoir en sortir, jamais, espérant arrêter là la progression de cette douleur déchirante.
Gamin, ne fais pas de bêtises s'il te plait ...
Il n'y a plus qu'une chose à faire. Je choisis la manière la plus horrible qu'il soit, pour montrer au monde ma douleur, ma souffrance, ma lâcheté, et que sais-je encore ...
Gamin ! Non !

*O0o.°.o0O*

Tsunade était surchargée de travail, comme d'habitude. En cette journée pluvieuse, elle était découragée. Elle se leva et regarda par la fenêtre, vers la montagne aux Hokages, où son portrait avait été récemment ajouté. Elle pensa distraitement en voyant Naruto sur le crane de Yondaime qu'il était en train d s'entrainer. Toujours aussi distraitement, elle le vit disposer son matériel.

Grace à son contrôle du chakra il marcha à la verticale sur le visage de Minato. Il planta un kunai entre les deux yeux de la statue. Il accrocha une corde à l'arme. Il remonta jusqu'au front et arrêta son escalade. Il coupa le chakra qui alimentait la plante de ses pieds. Il fit un n½ud avec l'autre extrémité de la corde. Il marqua ensuite un temps d'arrêt et embrassa le paysage du regard. Le soleil allai se coucher, il était juste au dessus de l'horizon, et les nuages prenaient des teintes pastels absolument merveilleuse et magnifique.

Sans vraiment savoir pourquoi, Tsunade était dans un sorte de transe, les gestes de Naruto était fascinant, bien que très commun et banals. Si elle n'avait pas eu ce drôle de pressentiment, elle se serait détournée de la fenêtre.

Elle le vit lancer un drôle de regard, même de loin cela elle le percevait. Un de ces gestes qui vous serre le c½ur, sans savoir pourquoi, sans que vouliez le savoir, bien que vous sachiez finalement ce pourquoi horrible, quelques instants plus tard.

Soudain tout se passa très vite. Sans qu'elle eu le temps de comprendre, elle le vit se balancer au bout d'une corde. Son sang ne fit qu'un tour. Elle, bondit, passant à travers la fenêtre, projetant des éclats de verre partout, se griffant le visage, et vola littéralement vers le jeune homme. Hélas, les précieuses secondes qu'elle mit pour le rejoindre eurent raison de son souffle.

Il était, mort. Pas évanoui, mort. Pendu.

Tsunade décrocha le défunt blond et le posa à terre, au pied de la montagne. Elle poussa un cri à briser les vitres. Des larmes de tristesse et de rage se mélangèrent au sang coulant le long de ses coupures, sur ses joues, ses lèvres, son cou. S'en était trop, il fallait qu'elle expulse cette douleur, cette frustration, ces petits rien accumulé depuis la prise de son poste. Elle allait exploser si elle ne faisait rien. Elle se tourna et jeta violement ses poing contre la paroi de la montagne. Encore et encore, détachant des gravillons à chaque coup.

Le bruit ameuta le village. Le cri et les coups vidèrent le village qui se rassembla autour du corps en un demi-cercle délimité par la paroi. Sakura s'approcha la première. Elle testa le poignet de son ami, son cou et vit la marque de la corde. Elle recula de deux pas vers son mentors, en baissant le menton, serrant fort à s'en faire mal ses poings et ses paupières. Elle donna un grand coup de pied dans le sol, affaissant la place sur cinquante centimètres autours d'elle. Elle se tourna elle et attaqua elle aussi la paroi. Sasuke, le second, lui ouvrit une paupière et regarda son iris armé de son sharingan. Il resta en place quelques secondes et referma doucement cette ½il qui ne verrait plus jamais. Il se leva et bondit jusqu'au panorama sur la montagne, pour observer ce crépuscule époustouflant qui semblait faire outrage et honorer le disparu. Hinata s'avança et caressa les cheveux blonds, pour la première et dernière fois, sa seule et unique fois. Kiba serra son poing et lui posa sur le torse. Konohamaru s'approcha, se plaça derrière la tête de Naruto et serra sa tête contre son c½ur, en versant des larmes silencieuses. Kakashi rajusta son bandeau frontal et Jiraya sortit son collier de sous son t-shirt et le laissa bien en vue sur son sternum. Les autres, Shikamaru, Choji, Ino, Shino, Neji, Tenten, Lee, et Sai, posèrent une main sur son poing lui-même posée sur ses pectoraux.

Tout le village était là, à se rappeler ce petit garçon turbulent qui ne demandait que la reconnaissance. Les larmes, les pleurs, les sanglots étaient partout présents, surtout chez l'entourage du jinchuuriki. Même les plus stoïques versaient des larmes silencieuses, se cachant plus ou moins.

Iruka arriva bon dernier. Il fendit la foule qui s'écarta sur son passage. Quand il vit le petit corps allongé au sol, il se stoppa. Apres avoir repris à peu près constante et en chancelant, il se dirigea vers son élève. On aurait dit que ses jambes allaient se dérober sous lui. Il s'agenouilla et pris Naruto dans ses bras, le serrant contre son torse.

Un cri inhumain, quasi bestial se fit entendre. Le cri d'Iruka brisa le c½ur de toute l'assemblée. C'était celui d'un parent venant de perdre son enfant, un cri de souffrance incommensurable, un cri du c½ur, un cri déchirant. Ses larmes coulèrent à flot sans qu'il cherche à les retenir. Entre ses sanglots, il répétait le nom de son fils de c½ur. Rien ne pouvait faire aussi mal que cette souffrance.

Sasuke redescendit de son perchoir et posa sa main sur l'épaule de son instituteur, immédiatement suivit de Sakura, qui avait fini – tout comme Tsunade – d'abattre la colline quasi-sacrée.

Il se passa soudain quelque chose d'inattendu.

Sous sa veste, le ventre et le bras droit de Naruto pulsèrent d'une inhabituelle lumière rouge-orangée. Iruka souleva le T-shirt et vit le sceau resplendir sur les abdominaux du garçon blond.

Soudain, la mâchoire de l'ex-futur-Hokage s'ouvrit d'un coup. Une sorte de brume de couleur orange-rouge s'échappa de la gorge du jinchuuriki. La brume se modela doucement, avant de prendre une forme ô combien reconnaissable. Empruntant sa voix au vent, la tête du démon renard rugit de toutes ses forces, avant de se dissiper dans une atmosphère chargée d'électricité, proche de celle d'un orage.

Une autre brume se libera, celle-ci de couleur blanche, éblouissante. La forme qu'elle prit choqua l'ensemble des présents, compressant davantage leur c½ur emplie de regret. Un garçon, aux cheveux ébouriffés, portant des marques sur le visage, avec de grands yeux innocents, leur souriait. La forme se détourna d'eux et se dirigea vers un nuage qui semblait l'attendre, un nuage en forme de petit chat tigré, qui tendait la patte vers l'âme du déjà regretté Naruto.

Les spectateurs restèrent figés pendant quelques minutes. Apres s'être repris, mais en continuant à verser des larmes devenues silencieuses, Iruka releva doucement la manche droite du défunt. Ce qu'il vit le choqua. Gravé sur sa peau, des cicatrices monstrueuses se dessinaient sur l'avant bras du petit blond. On aurait pu croire que ces marques avaient été gravées à l'aide d'un éclat de verre. Pourquoi Kyuubi ne les avait-il pas soignés ? C'est en examinant de plus près la blessure qu'Iruka s'aperçu que les stigmates formaient un mot.
Icara.

Il prononça le prénom à voix haute. Tsunade compris, enfin.

Icara portait en elle le démon tigre à cinq queues. Elle avait été emporté et assassinée par l'Akastuki, et Naruto avait reçu l'information le matin même. Ils étaient les deux derniers porteurs. D'après le rapport de ses coéquipiers, le turbulent jeune homme s'était pris d'affection pour la petite fille de 8 ans. Il lui avait promis de revenir la chercher, de la protéger, de devenir sa famille - puisqu'elle aussi était orpheline – pendant la seule journée qu'il avait passé en sa compagnie. Cette rencontre avait fait de lui un autre homme. Pourtant, l'ancien et le nouveau Naruto venaient d'être détruits.

Désormais, il ne restait plus aucun démon, puisque le dernier – et de loin le plus puissant –s'en était allé.
Tout en expliquant les faits, les pleurs de Tsunade redoublèrent d'intensité, tandis qu'elle regardait le visage désormais serein du shinobi qui aurait du être le plus prometteur de Konoha.


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Aya : Voila, c'est un peu triste.
Naruto : Pourquoi je me suis pendu ? C'est moche comme façon de mourir !
Aya : C'était voulu.
Sasuke : C'est qui Icara ?
Aya : Enfin une question intelligente. C'est un perso qui me traine dans la tête depuis un moment. Elle est totalement inventée. Pour moi c'est une gamine de 9 ans orpheline, vagabonde maltraitée par les gens de son village, mais ils ne veulent pas la laisser partir parce qu'ils pensent qu'elle protégerait le village s'il était attaqué. Et j'ai vue qu'on ne connaissait pas le 5-queue alors je l'ai créé.
Gaara : Faux. En fait c'est un chien blanc et il s'appelle Gobi Houkou ( source : les enfants de Konoha).
Aya : Peut-être mais il est jamais apparu nulle part. Et pis c'est une fic, je fais ce que je veux d'abord ! Pendant que j'y pense, t'as rien à faire là toi Gaara, Je te mentionne même pas !
Gaara : Je suis où alors ?
Aya : Ba mort. On t'a ôté ton tanuki.
Kyuubi : Et pourquoi je meurs moi ? C'est une honte, tu peux pas me faire ça ! *commence une crise d'hystérie*
Aya : Neji, mon chou, fais le taire.
Neji : A vos ordre Sublime *clin d'½il*
Les autres : Beurk !
Aya : Jaloux ! Bon sur ce, je vous laisse, et vous supplie de laisser un petit review !!
A Bientôt !

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Série : Harry Potter

Auteur : Shik-Aya-chan

Genre : Drama, Tragédie, Romance, Amour impossible, Angst, Deathfic non dite ...

Rating : K

Couple : Drarry

Résumé : "La prochaine fois ce sera mieux mon amour, la prochaine fois nous serons heureux." Harry va mourir, et Draco avec lui. Pourtant ils s'aiment, mais n'en ont jamais eu le droit. Récit d'un amour impossible.

Disclaimer : Rien ne m'appartient, sauf peut-être la liaison d'âme, mais je suis pas sûre.

Note(s) : Une petite fic pour fêter mon anniversaire. J'avais plus trop envie de faire sur Naruto, et cette idée me paraissait bonne. Ca faisait un petit moment qu'elle me tournait dans la tête. Merci a ma beta, ma s½ur, qui
n'avait pas que ça à faire. Si quelqu'un se propose pour être la mienne attitrée, je suis pas contre, mais comme je publie rarement, je sais pas si c'est vraiment la peine. Mais si y'a quelqu'un pour me lire, j'aurai peut-être plus envie d'en écrire plus souvent.
En Attendant, bonne lecture de cette fic un peu triste.

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Tout ça pour en arriver là. C'est tellement ironique.

Je suis allongé sur ce lit d'hôpital, à regarder le ciel, les nuages. Si beau, tellement beau, comme ses yeux, ses magnifiques yeux gris bleus. Heureusement la morphine fait effet, sinon je ne sais pas comment il pourrait le supporter.

Vous ne comprenez rien ? C'est normal, personne n'a l'histoire complète, celle que je vais vous conter.

Je m'appelle Harry Potter et j'ai 18 ans. Je vais mourir à cause d'une blessure magique qui a atteint mon c½ur. Incurable, cela va sans dire. Et douloureuse aussi, ce serai trop facile. Le pire est que l'amour de ma vie va périr à cause de moi. Draco, je suis désolé.

Vous ne comprenez toujours rien ? C'est normal. J'ai commencé par la fin. Reprenons au début, au tout début.
La première scène du premier acte se déroule en début septembre, l'année de mes 11 ans. Ce jour la je suis entré dans une boutique, avec ce cher Hagrid, qu'il repose en paix. Là, pour la première fois de ma vie, j'ai croisé son regard. Immédiatement j'ai ressentis un grand trouble. Je lus dans ses yeux exactement la même chose. Autrement dit le coup de foudre, mais ça je ne l'ai sus que bien après. Sauf que la réalité s'est faite plus forte. Un masque, un rôle, voila ce que nous avons été forcés de revêtir. Mais cette chose était bel et bien présente.

La seconde scène se passa dans le train, où je fus dans l'obligation de refuser sa poignée de main. La réalité, une fois de plus, nous enveloppais. L'éclat qui brillait dans son regard ce jour là n'était pas de la haine ou du ressentiment, mais de la passion et une pointe de déception. Le mien n'était qu'affection et excuse. Mais déjà, à cet âge là, nous avions compris. Compris ce que nous étions, nous représentions, ce que l'on attendait de nous. Cette haine en particulier.

Mais tout cela n'était que comédie du début à la fin. Non une tragédie conviendrait mieux, car malheureusement cette histoire se termine mal.

Dans les années qui ont suivit, cette passion n'a pas disparue. Non, elle s'est même amplifiée. Mais ces masques nous collaient à la peau. Alors nous nous battions. Sous chaque insulte un mot d'amour. Sous chaque vanne une excuse. Sous chaque coup une caresse. Personne n'a jamais rien remarqué. Comment auraient-ils fait ? Ils ne nous connaissaient que dans cet état. Nous ne fûmes jamais découvert, pas même aujourd'hui.

Passons au second acte : la guerre. Draco avait rejoint l'Ordre du Phénix. Il été basé avec nous au square grimaud, quand il n'était pas en mission. On aurait pu croire à une chance d'évolution, mais non, impossible. Pas avec la proximité permanente avec les autres. Par contre le masque de haine se mua en amitié distante. Certains soirs l'un de nous se glissait dans la chambre de l'autre et nous parlions une partie de la nuit. Juste une discussion. Pas de baiser, de caresse ni même de contact. Juste nous, assis l'un en face de l'autre. Pour des raisons simples : la peur d'être découvert, car jusqu'ici rien de bien compromettant, la peur d'aller trop loin et de ressentir ensuite un manque qui nous aurait finalement grillé, sans aucun doute possible, et enfin le peur de perdre l'autre, car nous n'étions jamais sur de revenir en vie. Nous préférions les regrets à de la douleur pur.

Lui était espion, et moi membre de première catégorie de l'alliance de la lumière. Moi j'étais sauveur et lui traitre. Nous étions beaucoup trop associés à nos rôles pour nous en défaire.

Bon jusqu'ici vous suivez, et vous ne voyez pas le rapport avec notre mort prochaine. J'y viens.

Le troisième et dernier acte commença la veille de la grande bataille. Nous savions pertinemment qu'il y aurait des morts, beaucoup de mort, des deux cotés. La seule question en suspend était : qui ? Le reste était parfaitement prévu, réglé, répété. Le plan A, B et C était prêt, chacun connaissait son rôle. Personne n'était réellement indispensable, sauf moi malheureusement. La veille donc. À l'aube, le dénouement aurait lieu. Moi j'avais le sentiment que je n'y survivrai pas. Alors j'ai prit mon courage à deux mains, en bon petit griffondor. Ce soir là, quand il est venu me dire adieu, je l'ai embrassé. Un choc électrique nous a parcourus. La chaleur s'est répandue. Nous nous sentions bien. Mais nous n'avons pas été plus loin. On s'est arrêté, regardé avec ce regard qui veut tout dire et il est repartit. J'ai comprit ensuite que c'était LA connerie de ma vie. Je ne l'ai remarqué qu'au matin mais un tatouage était apparu : un bracelet sur mon poignet droit. Je ne m'en suis pas inquiété. J'étais comme en transe. Le plan a parfaitement marché. J'ai tué Lord Voldemort. Mais je n'en suis pas ressortit indemne, juste avec la petite contrariété que vous connaissez. Je sais l'humour noir ne me sied pas.

Beaucoup sont mort. Dans notre camps : Hagrid, Seamus, Fred, Charlie, Bill, Remus, Fol-½il, Rogue, Théo, et bien d'autre. Ne m'en voulez pas, je ne veux pas me rappeler qu'ils sont morts par ma faute alors je ne finirais pas la liste. De toute façon vous pouvez lire tous ces noms et les autres sur le mémorial sur le chemin de traverse.

Quand tout fut un peu posé, je posais la question à Hermione. Elle avait perdu son pied gauche dans la bataille, mais l'artisanat magique le lui avait remplacé.

« -Hermione, peut me dire ce que c'est ?

-Quoi ? Laisse-moi regarder. Hum ... Ancienne magie. Liaison d'âme plus précisément. Involontaire. Quand deux personnes éprouvent exactement les mêmes sentiments et les mêmes émotions au même moment et qu'elles entre en contact, elles se lient, et le bracelet apparait. Mais il faut que ce soit exceptionnellement fort. C'est très rare.

-Quels sont les effets ?

-Mélange d'âmes et de potentiel vital. Localisation et communication aussi.

- Explique-toi.

-Vos âmes sont connectées. Pour la fin des temps vous êtes des âmes s½ur, si ce n'était pas déjà le cas. Vos corps sont en correspondance. Vous souffrez la même douleur, quelque soit le corps qui la ressent réellement. Si l'un périt, l'autre meurt presque immédiatement.

-Le pied, quoi.

-Attend, les effets bénéfiques maintenant. La localisation. Tu te concentres et tu sais où elle est. Si elle est trop loin, tu connais la direction. T'as pas besoin de connaitre l'endroit pour te transplanter la où elle est.

-Cool.

-Enfin la communication. Vous vous parler dans vos têtes, grâce à un sort, faudra chercher. Vous échangez vos souvenirs, vos émotions, vos sentiments. Conclusion : Toujours ensemble, connecté, lié, à chaque instant.

-Merci Hermione.

-De rien Harry.»

Elle avait changé après la guerre. Plus d'exposés interminables, plus d'interrogatoires sans fin, plus de conseils mal placés. Concise, discrète et présente. Cette guerre l'avait fait murir.

Ce n'est que quelques jours plus tard qu'on a découvert ma malédiction. Le lendemain j'étais admis à sainte Mangouste. Le lendemain encore, Draco me contactait par le bracelet.

« Harry ... » je sursautais. Personne, mais j'étais sur d'avoir entendu mon nom.

« -Harry, c'est Draco, je suis dans le parc de l'hôpital.

-Draco ...

-Harry, je sais pour le tatouage et pour tout ce que ça implique.

-Draco ... Draco, je vais mourir.

-Je sais, ça fait la une de la gazette.

-Draco, tu vas mourir aussi.

-Je sais mon c½ur.

-Draco, je t'aime.

-Harry, mon amour, je le sais.

-Draco, j'aurai voulu que tu me survives.

-Ma vie est déjà insipide sans toi à mes coté. Comment veux-tu que je continu à vivre alors que toi tu as
disparu de la surface de la terre, de l'univers ? Ca m'est impossible. Nous aurions du faire ça plus tôt. Cette liaison aurait été une bénédiction pendant nos années à Poudlards.

-Draco, la vie a été injuste.

-Nous aurons plus de chance dans la prochaine. Je t'aime Harry.

-Draco, on me donne deux mois.

-Harry, je voudrais que l'on officialise.

-Draco, j'aimerai tellement.

-Je m'en occupe. Je te recontacte très vite. A très bientôt mon amour. »

Ça, c'était hier. Il doit être en train de tout préparer. Les journalistes à prévenir, nos funérailles à imaginer, notre fortune à léguer.

Moi je préfère penser à ce qu'aurai pu être la vie, à ce que sera la prochaine. Car nous sommes lié nous nous rencontrerons.

Alors je regarde le ciel, si semblable à ses yeux. Et je rêve, car le rêve est tout ce qui me reste, avec la certitude que tout est bientôt fini.

La prochaine fois ce sera mieux mon amour, la prochaine fois nous serons heureux.


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Aya : Alors, alors ?
Harry : Pourquoi faut-il vraiment qu'on meurt ?
Aya : Sans votre mort prochaine vous n'auriez jamais pu être tranquille. Là, on va vous foutre la paix.
Draco : Pas une raison. On aurait pu être heureux avec le monde entier ligué contre nous.
Aya : Aller, fait pas ta mauvaise tête. Ca m'aurait servi à quoi d'inventer la liaison si vous ne mourrez pas à la fin ?
Neji : Elle a pas tort.
Harry: Qu'est-ce que tu fais là toi ?
Neji: Je squatte.
Draco: On a vu, oui.
Aya *roucoule* : Mon Neji, comment ça va aujourd'hui ?
Neji *sourire charmeur* : Merveilleusement bien depuis que tu es là, ma douce !
Harry, Draco : Berk.
Gaara : Et voila, ca recommence.
Aya : Mais je t'oublie pas mon Gaara. Viens par ici que je te fasse un calin !
Gaara *souris* (si si c'est possible !) : S'il le faut vraiment.
Aya : * l'étouffe entre ses seins*
Harry : Puisqu'elle est légèrement occupée, je prends la suite.
Draco : Non, moi. Merci de laisser des reviews pour dire ce que vous en avez pensé, si c'est nul, si c'est bien, si c'est triste, si c'est mièvre, si vous voulez qu'elle continue à écrire ou si vous voulez qu'elle aille se suicider vite fait.
Harry : Si quelqu'un se propose pour devenir beta, ça tient toujours, et ça lui ferai vraiment plaisir.

P.S. : je sais les perso de Naruto n'ont rien à faire là, mais j'aime bien quand ils interviennent ces deux là. Gomen asai !

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Envie d'être là-bas
Envie d'être chez moi
En
vie d'être moi
E
t de faire ce que je ne me permet pas

E
nvie de grimper
Sur les rocher
E
t de souffler
Vi
dée

Env
ie de longer les champs
Verdoyant
Su
r mon vélo étincelant
E
t de respirer avidement

Env
ie d'être allongée
S
ur le gazon mouillé
Et de regarder passer
Le
s nuages effilés

En
vie de rire
Et de courir
Par
mi les arbres d'été
Et de savourer

Envie d'être là-bas
Envie d'être chez moi
E
nvie d'être moi
E
t de faire ce que je ne me permet pas

Envie d'être adossée
A
un chêne très âgé
Et
de lire à mon grès
T
out mes manga préférés

Envie de courir après les papillons
De manger des bonbons
Et
des mûres
E
n confiture

Env
ie de marcher
De
me promener
Au milieu de ce que je connait
De
lieu déjà exploré

Envie de faire voler un cerf-volant
E
n chantant
De
s airs aux doux parfums d'enfance
D'innocence

Envie d'être là-bas
Envie d'être chez moi
Envie d'être moi
E
t de faire ce que je ne me permet pas

E
nvie de me recroqueviller
Et de pleurer
Envie de tout envoyer valser
E
t de hurler

E
nvie de mourir
Et
d'arrêter de souffrir
Envie de vivre pleinement
É
normément

En
vie de tout arrêter
Et de m'élever
En
vie de voyager
De
tout expérimenter

Envie de faire confiance
E
n permanence
P
as envie d'être trahis
Par des sourire d'hypocrisie

Envie d'être là-bas
Envie d'être chez moi
En
vie d'être moi
E
t de faire ce que je ne me permet pas
Po
ur une fois


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Dans ma bulle de sérénité

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