Shikayachan

Les écrits de Shik-Aya-Chan

Série : Harry Potter

Titre : Quand les dieux s'en mêlent ...

Disclaimer : Rien à moi, sauf le scénario et la rédaction

Auteur : Shik-Aya-Chan

Beta-reader : Havirinyrce Vince

Rating : M : il va y avoir plusieurs lemon, sur plusieurs couples. Yaoi/Slash : relation amoureuse et/ou sexuelle entre hommes !

Statut : 8 chapitres publiés, 10 chapitres écrits (environ), 8 chapitres corrigés, entre 20 et 30 de prévus

Genre : Romance, Humour

Couples : Harry/Draco bien sur, Ron/Hermione, et Sirius/Remus/Severus

Résumé : Lors d'un cours, Venus apparaît et décide de lier par l'âme Harry et Draco. Mais tout ne sera pas comme dans un conte de fée, il devront affronter des épreuves pour arriver à s'aimer.

Contexte : On oublie beaucoup de tomes. Le 5, le 6 et le 7 évidement.

Jours 37 à 43

Notes : Nous revoila parti avec Harry et Draco ! Je suis sure qu'ils vous ont manqué, avouez. J'ai eu l'impression que certains d'entre vous aimaient moins le Sirius/Remus, pourquoi ? Qu'est-ce qui vous plait moins dans ce couple ? Vous préférez le Sirius/Severus ou le Severus/Remus ? Dites moi tout !

-------------------------------------------------



« -La Gazette du Sorcier, le 17 Octobre : "Le Survivant bientôt marié !" Par Rita Skeeter. Pffff, n'importe quoi.

-Hermione, tu ferais mieux de ne pas le montrer à Harry quand il descendra.

-Je sais bien Ron ! Mais je voudrais quand même lire l'article pour savoir comment cette vipère a pu inventer une telle chose.

-Tu crois que ça a un rapport avec Malfoy ?

-J'en suis quasiment sure. Mais si ça se trouve c'est juste pour distraire les lecteurs du dernier scandale qu'a provoqué la condamnation d'un jeune accusé d'être mangemort, alors qu'il était sous un sortilège d'Imperium de Voldemort lui même. Cette affaire a fait du bruit, et la population sorcière est de plus en plus mécontente du système juridique, et ça peut vouloir dire une grande série de démissions. Et on sait très bien que ces gens là étaient dévoués à Fudge. Il vaut mieux pour eux qu'ils ne fassent plus de vagues.

-Alors il dit quoi cet article ?

-Pas grand chose de constructif, et de vrai surtout. On ne révèle pas l'identité de l'épousé(e), et sur toute une page elle ne fait que brasser de l'air. Je ne trouve pas une seule information, que des suppositions. Ah, si. Oh, putain, c'est pas possible ! Elle dit qu'elle a un informateur interne qui lui fournirais des informations semaine par semaine ! On a un espion !

-Un espion ? Pour savoir quoi ? Demanda Harry qui était arrivé derrière eux sans qu'ils ne l'entendent. Passe moi ça.

-Non, Harry !

-Voyons... C'est quoi cette merde ? Moi, marié ? Qu'est-ce que cette peste a encore inventé ?

-Harry, ne lit pas l'article !

-Quoi ? Ça va continuer sur plusieurs semaines en plus ? Putain, je vais retrouver cet enfoiré et lui faire bouffer son hibou tout cru avec les plumes et les parchemins ! Je vous jure que ce connard ne s'en sortira pas comme ça ! »

Il sortit de la salle à grands pas. L'air crépitait autour de lui, signe qu'il était vraiment très énervé. ( NdA : oui, il arrive à le faire même avec la magie scéllée )

Hermione jeta un coup d'½il au blond qui était en train de se servir sur la table de petit déjeuner. Il avait le journal à coté de son assiette, et regardait le brun d'un air perplexe quand il le vit sortir en trombe. Il haussa les sourcils et continua à prendre des ½ufs brouillés et des saucisses. Il sentit le regard de la Griffondor, et lui fit un de ses célèbres haussements de sourcil. Il regarda rapidement le journal, lui aussi sans comprendre. Elle recommença, et cette fois il saisit. Il le déplia et jeta un coup d'½il à le une.

Il pâlit d'un coup. Elle vit Blaise lui poser une question, et commencer à s'inquiéter de sa soudaine fixité. Il se leva comme un automate et sortit lui aussi de la salle.

Hermione se tourna vers son petit ami, qui semblait s'être lancé le défi de mettre le plus de hareng possible dans sa bouche.

« -Ça va être une longue semaine. »

Oo0ooOoo0oO


Harry et Draco n'avaient pas été en cours de la journée. Ils n'étaient pas descendus ni au déjeuner ni au diner, et personne ne les avait croisés dans les couloirs. Ils étaient soit dans leur appartement, ce qu'on ne pouvait vérifier car ils avaient changé le mot de passe et désormais ni les professeurs ni le directeur ne pouvaient entrer, soit sortis de Poudlard, ce qu'ils ne pouvaient pas non plus vérifier, puisque c'était Harry qui possédait la carte des Maraudeurs, et qu'ayant tous deux 17 ans, ils pouvaient sortir de l'enceinte du collège sans autorisation préalable.

Cela en avait inquiété plusieurs, mais toutes ces personnes étaient impuissantes.

En réalité, Harry et Draco avaient passé la moitié de la journée à bouder et à ruminer, à râler et à geindre, et la deuxième à chercher qui pouvait être le coupable, et au moyen de le faire payer. Les deux listes avaient beaucoup été réduites à la fin de la journée. Il ne restait plus que deux Serdaigles de sixième et cinquième année, un Poufsouffle de septième année, et un Serpentard de quatrième année. Tous les Griffondors avaient été écartés, car Harry les connaissaient tous plus ou moins, et était sûr de leur caractère droit et de leur fidélité. Par contre, ils avaient opté pour la torture psychologique du coupable. Soit ils lui faisaient de lourdes menaces et se contentaient de lui jeter des regards mauvais et sadiques, de l'effleurer de temps en temps, soit ils lui jetaient une malédiction de maladresse, associée à des inscriptions en lettres de sang fait par un sortilège d'illusion, des voix effrayantes sorties de nulle part que seul lui - ou elle, car le cinquième année de Serdaigle était une fille – et le tout le ou la ferait passer pour un fou paranoïaque, et ils n'auraient plus à s'occuper de fausses rumeurs.

La première idée avait été émise par Draco, car s'était la technique préférée de pression de son père. Généralement, quand il appliquait cette méthode – ce qu'il faisait dans 80% des cas – il n'avait pas à se salir les mains, tellement la victime s'effrayait et s'inventait des choses. Il disait que c'était très efficace, et seul l'ancienne réputation des Malfoy et leur actuelle fortune leur servait de menace. Vraiment très efficace.

La seconde idée était de Harry. C'était la technique de Voldemort sur lui pendant sa sixième année. (NdA : je rappelle que je ne compte pas le tome 6, donc vous ne savez pas ce qu'il s'est passé pendant cette année) Il avait vraiment failli en devenir fou. Remus l'avait aidé, car lui aussi certaines années, quand la lune était particulièrement proche de la terre, son loup lui parlait et prenait le contrôle de son inconscient. Fol ¼il lui avait appris à défaire les sorts au fur et à mesure, ce qui avait été un excellent entrainement en sortilèges.

Il ne restait plus qu'à trouver le coupable, et ils adapteraient la sanction à la personne. Ils avaient séché toute la journée du lundi, mais ils s'en fichaient. Ils avaient du mal à exécuter les sorts de toutes façons, car ils n'arrivaient pas encore à mélanger complètement leurs esprits pour vouloir la même chose en même temps.

Ils se présentèrent tous deux dans la Grande Salle le lendemain matin, faisant semblant de vraiment mieux s'entendre. Harry touchait l'épaule de Draco et le blond lui répondait par un sourire tendre. Ils s'arrêtèrent quelques minutes pour continuer à discuter avant de rejoindre leurs tables respectives. Les élèves ouvraient des yeux ronds à la vue de ce soudain rapprochement. Avant ils ne supportaient pas de se toucher, et faisait en sorte de le faire le moins longtemps possible pendant les cours. Ils riaient ensemble et semblaient ne pas vouloir se séparer, même pour manger. Vraiment, c'était un très gros changement.

« -Harry, demanda Hermione, vous n'avez quand même pas...

-Qui sait ? lui répondit-il avec un sourire énigmatique.

-Sérieusement Harry, vous n'avez pas fait ça ? »

Il lui répondit par un clin d'½il qui voulait tout dire – et surtout dire tout ce que voulait celui ou celle qui l'interpréterait – et se servit son pain, sa marmelade et son Nutella.

La rumeur se répandit comme une trainée de poudre. Enfin, il y avait plusieurs rumeurs. L'une disait qu'ils avaient écharpé l'élève coupable, et quelques uns étaient en train de vérifier les absents, certains disaient qu'ils étaient allés faire brûler les locaux de la Gazette par vengeance, et qu'ils ne recevraient pas le journal ce matin là, et les plus vieux et les plus lubriques disaient qu'ils avaient fait plusieurs parties de jambes en l'air pendant toute la journée de la veille, et que cela expliquait leur soudain rapprochement.

Ils surveillaient les réactions des soupçonnés, et notaient intérieurement ce qu'ils voyaient. Ils étaient tous plus ou moins suspects : les Serdaigles notaient furieusement quelque chose sur un bout de parchemin comme il traine toujours à cette table, le Poufsouffle se dévissait la tête pour essayer de les regarder, et le Serpentard restait si stoïque et indifférent que s'en était suspect.

Pendant le reste de la semaine, ils s'arrangèrent pour se trouver aux mêmes endroits que les accusés, et firent de nombreux sous-entendus, laissèrent échapper des petites phrases lourdes de sens qui auraient fait tilter le coupable. Mais ils étaient assez discrets, et contrôlaient très bien leur corps, ils ne se laissaient pas surprendre.

Ils décidèrent de passer à la vitesse supérieure. Ils firent une annonce comme quoi ils ne souhaitaient pas voir leur vie privée s'étaler sur les pages des journaux, ainsi que dans les conversations. Le Serpentard et le Poufsouffle soutinrent son regard, tandis que les deux Serdaigles détournèrent les yeux. C'étaient à eux qu'ils devaient désormais s'attaquer.

Leur dernière action fut de prendre deux photos différentes d'eux en train de s'embrasser – pour de faux, et dans un angle et un mouvement qui le laissait penser. Ils les firent tomber devant eux, faisant semblant de ne pas s'en apercevoir. Si l'une de ces photos était publiée, ils auraient leur coupable. Dans l'absolu, pour les éliminer plus surement, il aurait fallu que l'un ait l'honnêteté de rendre le cliché, mais les Serdaigles sont des créatures très curieuses, et bizarrement très fan-girl/fan-boy, et cela ne se fit pas.

Par contre, ils n'avaient pas compté sur l'intelligence des membres de cette maison. Le vendredi, un ballon rempli des deux cliché explosa dans la grande salle pendant le diner, et chacun put se procurer la photo, qui parut le lendemain à la première heure.

Cela avait du bon et du mauvais. Les deux Serdaigles étaient surement complices, et si ce n'était pas eux les coupables, il faudrait reprendre les recherches à zéro.

Mais en regardant de plus près l'article, en en comparant avec les copies, ils remarquèrent des différences. En effet, une photo magique copiée changeait imperceptiblement de comportement. La photo de départ était donc différente de ses copies, qui étaient elles identiques. Sauf si elles étaient développées à partir du même négatif, auquel cas la photo reproduisait fidèlement la scène. Et l'original avait été envoyé à la Gazette.

Les coupables étaient donc bien les deux Serdaigles. La question était maintenant de savoir s'ils étaient deux, ou seuls. Mais cela n'était pas la partie la plus difficile.

Les Griffondors de septième année avaient été mis au courant du plan presque immédiatement, et avaient un peu aidé à sa réalisation, malgré les protestations de Hermione qui disait que l'on devait laisser faire Dumbledore. Neville avait été assez enthousiasmé, car il adorait les romans policiers (NdA : à la différence de moi qui n'aime pas du tout ça. Vous me pardonnerez la nullité de cette intrigue.)

Ils avaient décidé de piéger le coupable, une bonne fois pour toute. Il suffisait de les prendre à part, dans un endroit pas trop menaçant, ni trop clôt, et de leur faire avouer. Ils constituèrent des équipes : Harry, Ron, Dean et Neville pour le garçon, et Draco, Blaise, Seamus et Hermione pour la fille. Il s'agissait d'impressionner et d'intimider l'un, et de charmer l'autre.

Il fallait que le timing soit parfait, qu'ils fassent leur interrogatoire exactement en même temps, pour qu'ils ne puissent pas se concerter.

Oo0ooOoo0oO


« -John Wenlock, je présume ? Demanda Harry.

-Oui ? Répondit le jeune homme, déconcerté.

-Nous avons quelques questions à te poser, prononça Ron.

-A propos de... ?

-Ne fait pas le malin, menaça Dean.

-C'est juste que je ne comprend pas.

-C'est étonnant de la part d'un Serdaigle, persiffla Neville.

-Je, heu...

-Nous voudrions savoir pourquoi, reprit Harry.

-Heu, pourquoi quoi ?

-Tu le sais très bien ! Fit Ron, les sourcils froncés.

-N-non, je ne vois p-pas.

-Réfléchit, murmura Harry, doucereux.

-Les photos, rappela Neville après un moment de panique du garçon.

-L-les photos ? Quoi les ph-photos ?

-Pourquoi les avoir distribuées dans la Grande Salle ? Cria soudainement Harry.

-J-je ne vois p-pas de quoi vous parlez.

-Arrête. On sait très bien que l'une des deux était en ta possession. Et on sait qui avait la deuxième ! Parle ! S'énerva Harry.

-C'est-c'est elle qui a eut l'idée. E-elle disait que ce serait marrant, que tout le monde voudrait en avoir.

-Et la Gazette ? Demanda Ron. Pourquoi avoir vendu la photo à la Gazette ?

-C'est p-pas nous ! N'importe qui aurait pu le faire !

-C'est ce que tu as voulu nous faire croire. Mais tu ne sais pas grand chose sur la photographie, n'est-ce pas ? Interrogea Neville. Juste comment faire une copie ? Tu aurais du lire l'avertissement, tu as été trop pressé. Il se crée des différences entre les originales et les copies. Pas énormes, mais suffisantes.

-C'est toi qui as vendu cette photo, John. Ne nie plus, nous avons des preuves, asséna Dean pour porter le coup final.

-Non ! C'est elle ! C'est elle qui a eut cette idée ! Elle est venue me voir pour qu'on duplique les photos ! Je ne savais pas que c'était elle l'informateur de la Gazette ! Elle a gardé mon original, je ne savais pas ce qu'elle en avait fait ! Ce n'est pas moi ! Je vous le jure ! »

Oo0ooOoo0oO


« -Alice McFly ? interpella Draco.

-C'est moi.

-Nous avons quelques questions à te poser, lui sourit Blaise. (NdA : je rappelle que Blaise est très sexy quand il veux, cf dialogue avec les persos chapitre 5)

-A quel propos ? Demanda suspicieusement la jeune fille. »

Ils trouvèrent cette attitude louche. Une jeune fille se pâmait quand Draco Malfoy et Blaise Zabini l'abordait gentiment. Une preuve de plus de sa culpabilité donc.

« -Rien de bien méchant. J'ai entendu dire que tu avais des oreilles partout dans Poudlard. On voudrait en savoir plus sur une certaine rumeur, éclaira Hermione.

-Laquelle ? Reprit-elle, soudain professionnelle.

-On voudrait savoir qui a répandu toutes les photos.

-Voyons, dit-elle en sortant son carnet de sa poche. J'ai peu d'informations là-dessus. Bien sur, tout le monde en parle, mais personne ne se demande vraiment qui en est l'auteur, donc il n'y a pas de conversation ni de ragot. C'est difficile de savoir dans ce cas. J'ai des soupçons envers quelques Serpentards, mais rien de très significatif. Désolée.

-Et l'informateur de la Gazette ? Demanda Seamus.

-Là, encore moins d'infos. Il est très discret, et assurément pas vantard, sinon ça se saurait. Surement un Serpentard ou un Serdaigle. C'est peut être pour l'argent, il faudrait se renseigner si le type touche quelque chose. Sinon, c'est peut-être une fille, une amoureuse transie et frustrée.

-Si c'était le cas, pourquoi maintenant ? Demanda Blaise.

-Pour brouiller les pistes, je pense. Ou peut-être que ça lui est monté à la tête, et qu'elle en a eut assez. J'en sais rien, moi, je suis pas dans sa tête.

-Tu prendrais des infos ? On sait qui avait les photos, ajouta Seamus.

-Vrai ? Vous voulez quoi en échange ?

-La vérité, répondit Draco. Tu connais bien John Wenlock ?

-Un peu, pourquoi ?

-Il avait un des deux clichés, fit Hermione.

-Mais comment il a pu les obtenir ?

-On l'a bêtement fait tomber devant lui, sourit Draco. Et on sait aussi qui avait la deuxième, par la même méthode.

-H-ha oui ?

-Hum hum, acquiesça Blaise. Tu veux savoir qui est-ce ?

-B-bien sur ! Qui-i ?

-Toi, susurra Draco.

-M-moi ? N-non ! Je n-ne les ai j-jamais eu !

-Bien sur que si ! Et ton original est juste là, chantonna Seamus en tira le cliché du carnet.

-Et nous pouvons raisonnablement penser que tu as aussi vendu ces informations à la gazette, non ? exposa Hermione. Tu as pris contact avec Wenlock et tu lui as proposé de dupliquer les photos. Tu as gardé son original et tu l'as envoyé à la Gazette. C'était toi depuis le début, et tu t'es servit de lui, n'est-ce pas ? C'est bien ça Alice ?

-N-non ! C'est faux !

-Ne ment pas ! Cria Harry qui venait d'arriver avec son groupe et son complice. John nous a tout dit !

-Pourquoi ? Dit Draco d'un ton vraiment menaçant. Pour quelle raison ? Pour l'argent ou par désespoir amoureux ?

-Qu'importe, trancha Harry. Tu vas le regretter, mais pas tout de suite... Cela te poursuivra, jusqu'à ce que je décide que cela suffise.

-Part, siffla Draco, je ne veux plus jamais que tu croises mon chemin, ou il t'en cuira... »

Elle décampa le plus vite possible, bientôt suivi de son camarade.

« -Les deux plans Malfoy ?

-Les deux plans Potter.

-Parfait, allons manger ! »

Oo0ooOoo0oO


Comme d'habitude depuis le début du mois, ce soir là Draco partit se coucher en premier, laissant Harry bouquiner sur le canapé près du feu. Comme d'habitude depuis le début du mois, Harry ne partit se coucher qu'une fois que son lien magique ne lui indique que Draco était endormis. Comme d'habitude depuis le début du mois, Harry prit sa potion de sommeil profond pour tomber comme une masse. Et comme d'habitude depuis le début du mois, Harry se réveilla en hurlant presque dans son lit, en sueur, nauséeux, les yeux fous. Et comme d'habitude depuis le début du mois, Harry alla vomir dans les toilettes, ayant peur de retourner se coucher.

« -Fait chier... Ça ne s'arrêtera donc jamais ? Même maintenant que Tom est six pieds sous terre ? »


-------------------------------------------------

Aya : Tadam !

Draco : Quoi tadam ?

Aya : Ba rien, le chapitre est fini, et on s'arrête juste avant la grosse intrigue.

Harry : Et ... ?

Aya : Faut tout vous dire ! Normalement, le lecteur doit se poser plein de questions ! Qu'est-ce qu'a Harry ? A quoi est-ce du ? Depuis quand ça dure ? Quoique là on a un indice. Pourquoi Draco ne remarque-t-il rien ?

Draco : C'est vachement bateau quand même.

Aya : Pffff, je fais ce que je peux. De toutes façons, je suis même pas sure de poster le chapitre prochain comme prévu.

Harry : Ah oui ?

Aya : Ba oui, c'est ce que je vous répète depuis deux mois ! Il y a le BAC ! Et le prochain chapitre tombe pendant les épreuves. Alors je sais pas si je serais à l'heure. Mais bon, on verra bien. Avec un peu de chance, il sera écrit et corrigé, mais je ne garantis rien.

Draco : Pas très sérieux tout ça.

Aya : Si au contraire. Mais passons. En ce qui concerne les reviews, J'AI PASSE LA BARRE DES 150 ! C'est trop génial, merci à toutes et à tous. Je suis vraiment très fière. En plus j'ai remarqué en allant voir dans le mode de recherche que ma fiction est pas mal apprécié. 165 reviews pour 11 chapitres, c'est vraiment pas trop mal. D'ailleurs pour ce chapitre, j'en suis à 12 reviews, et le nombre de reviews sur les chapitres précédents augmentent aussi. Pour vous dire ,le chapitre 5, celui où apparaît Sirius, a 21 reviews pour lui tout seul ! C'est sûrement votre préféré, comme c'est le mien. Bref, merci à tous, c'est un honneur d'être suivie par autant de gens. Je vous embrasserais si je le pouvais.

Draco : Évite de les traumatiser.

Aya : Méchant. En ce qui concerne l'écriture, je vais essayé de me trouver une ou deux heures entre mes révisions pour vous pondre ( Cot ! ^^ ) le prochain chapitre. Mais je ne promet rien. Comme dit ma mère : Passe ton bac d'abord !

Harry : Et nous il faudrait qu'on s'occupe de nos ASPICs non ? C'est pas à la fin de l'année ?

Aya : Si, faudra que j'y pense, si la fic se termine pas avant. Pour ce chapitre, je ne pensait pas que l'épisode de la gazette prendrait autant de place. Pour moi, c'était juste un tiers du chapitre. Mais bon, c'est pas plus mal, finalement. Vous voyez bien que vous pouvez vous supporter !

Draco : C'est pour faire des mauvais coups, ça compte pas.

Aya : Bien sur que si. Vous êtes les successeurs des Maraudeurs. Qui étaient les meilleurs amis du monde.

Harry : Pas tant que ça si on regarde les derniers chapitres.

Aya : C'est vrai. Mais bon, je fais ce que je peux. Aller, on passe à la suite. On m'a demandé Severus pour cette fois ci.

Draco : Mon parrain ?

Aya : Tu connais d'autres Severus toi ? Moi non. Bon il devrait pas tarder à arriver. *regarde sa montre*

Harry : Par contre, y'a Sirius et Remus qui rappliquent *sourire malicieux*

Aya : C'était à prévoir. Mais qu'est-ce qu'il fabrique ? Il devrait déjà être là !

Severus : T'énerve pas, je suis là.

Aya : Très bien, on va commencer alors. On plante le décord. Yuya777 m'a demandé dans les cachots, devant une potion qui bout, alors c'est chose faite. Le feu brule très vivement, et c'est la seule source de luminosité. Le chaudron est posé sur le bureau du professeur, l'éclairant pas en dessous. C'est bon, tout est en place ?

Severus : Oui oui.

Aya : Alors ... ACTION ! Sev', tu ajoutes une substance inconnue pour le commun des mortels dans le chaudron, concentré, le visage dur. Tu remues doucement le fluide avec une cuillère en bois trois fois. Tu regardes le sablier sur le meuble. Tu attrapes les pans de ta robe et les secoues pour faire circuler l'air, mais ça n'a pas tellement d'effet dans cette salle emplis d'une atmosphère caniculaire. Tu passes ta manche sur ton front en sueur et jettes un nouveau coup d'oeil sur le sablier. Tu ajoutes un liquide d'un rose indéfini dans le chaudron et touilles une nouvelle fois, en augmentant l'intensité du feu. Là, tu n'en peux vraiment plus. Tu retires ta légendaire robe noire et ample, et la pose sur la chaise à coté de toi. Il ne te reste plus qu'une chemise noire et un pantalon de lin de la même couleur. Tu remontes tes manches jusqu'au coude et te penches à nouveau sur la potion. La lumière du feu crée un jeu d'ombre curieux sur ton visage. On dirait que tu es sous alimenté, ce qui a été le cas à une période de ta vie. Un autre fait paraître ton nez moins long, donnant un éclat de beauté inhabituel à ton visage. Un autre te donne l'air d'un meurtrier devant un cadavre. Bien sur, tu ne sais rien de tout ça, concentré sur le savant mélange des ingrédients. Mais tu augmentes encore la force du feu. Ton bureau ne craint rien, il est ignifugé, mais ce n'est pas le cas de ta chemise. Tu retires méticuleusement chaque bouton de chaque fente, et poses le vêtement sur la chaise, pas dessus la robe. Ta peau est très très blanche, limite cadavérique. Tu as horreur du soleil, et et tu ne sort quasiment jamais t'aérer hors des cachots. Tes cotes légèrement saillantes prouvent que tu n'as pas perdu l'habitude de la frugalité, habitude que tu as contracté pendant la guerre, et les missions dangereuses. Il y a trop peu de muscles pour compenser l'impression de fragilité qui se dégage de toi. Les gouttes de sueur coulent sur ton torse. Tu as vraiment l'air vulnérable comme ça, concentré sur ton art, insouciant du monde extérieur. Il n'est pas étonnant que tu n'acceptes personne dans ton laboratoire. N'importe qui voudrait caresser cette peau fine qui à l'air si douce, éffleurer ces cotes, toucher ce cou gracile. Ca serait vraiment embêtant pour réussir une potion. Tu relèves un peu tes cheveux au dessus de ta nuque ruisselante. Les cheveux plus court t'irait mieux, et je suis sure qu'une légère paire de lunette te donnerais un air plus doux, plus abordable. Finalement, tu finis la potion. D'un coup de baguette, tu éteins le feu, plongeant la pièce dans le noir.

Sirius : Gloups !

Aya : Remets toi, c'est fini. Bon, c'est pas tout ça, mais ... Review ?

-------------------------------------------------

Date de publication : 10 juin 2010 ( prochain, peut être : 21/06/10 )
Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast