Il faut savoir que j'écris ceci ( si jamais je publie ) un vendredi soir apres une semaine chargée, à un moment où je me sens pas super bien dans ma peau, et à une periode où le clavier me demange. Voila, vous etes prevenus.
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I should not cry.
I will not die.
I will survive.
Love is a lie.
Don't ignore my pain.
Save my soul.
Remenber.
Don't forget.
My tears.
My blood.
My pain.
Out my body.
Please, save my soul ...
I can't continue in this way.
Give me your hand.
Dry my eye by your kiss.
Please, love me.
I can't suport indifference.
Shut up, my brain.
You hurt my mind.
Suicide is not far away.
Please close your month.
Don't let my heart bleed.
Please, leave me alone.
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Qu'est-ve que cette douleur diffuse dans ma poitrine ? Pourquoi vient-elle me hanter ? Qu'ai-je fais pour mériter cette souffrance lacinante ? d'où vient elle ?
Je ne comprend pas ou cette peine prend sa source. Je ne sais plus qui je suis ni quel est mon but. Je suis perdue. Perdue dans un monde trop grand, trop méchant, trop injuste.
Perdue dans un monde intolérant, ou je ne sens aucune place. Un monde où partout où porte mon regard, je ne vois que la douleur et l'hypocrisie. Je me suis perdue en chemin. Sur le chemin qui mène a la vie d'adulte. Une voie sur laquelle on perd son innocence et sa naïveté, ou on apprend soit disant la maturité, mais surtout sur laquelle on apprend a revêtir un masque qui ne nous quittera plus. Un masque aux apparences de gentillesse et de bon sentiments, de bienveillance et de pardon, qui n'est en fait que flatteries, langues de vipères et coup de poignard par derrière.
L'humain ne fait jamais rien pour rien. Il a toujours une arrière pensée. La nature humaine n'est pas bonne. elle est commandé par nos désirs.
J'ai peur de faire partie de ces humains moi aussi. Je ne veux pas devenir cette bête infâme et vorace sous des traits de bonté. Je ne veux pas devenir un loup pour les autres. Je ne veux pas devenor intolérante et étroite d'esprit.
Je veux me détacher de tout. Regarder le monde d'en haut, comme un spectateur, sans vraiment avoir de prise sur le réel. Juste observer, sans juger, comme on regarde une fourmilière s'activer.
Tout me parait vint. J'ai l'impression de vivre une vie par procuration. Par les autres. Par les histoires. Pas par moi même.
Je voudrait retourner au temps bénis de l'enfance, ou tout était simple, ou rien n'avait réellement d'importance.
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Bon, c'est tout pour ce soir. J'ai écrit à partir de mon téléphone, donc pas de majuscules ni de relecture. A tout les coups j'effacerais ça demain.
Je dédicace mes élucubrations à celles qui savent me remonter le moral quand j'en ai besoin.
Bonne nuit ...
Edit : Bon, j'ai mis des majuscules et j'ai corrigé les fautes. Je le laisse ( en mettant tout sur une seule page et pas trois comme me l'avait obligé facebook mobile) parce que c'est intéressant pour moi de savoir ce qui me passe par la tête quand j'ai le cafard.
Je pense pas que cela plaise à tout le monde, mais c'est pas le but.
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I should not cry.
I will not die.
I will survive.
Love is a lie.
Don't ignore my pain.
Save my soul.
Remenber.
Don't forget.
My tears.
My blood.
My pain.
Out my body.
Please, save my soul ...
I can't continue in this way.
Give me your hand.
Dry my eye by your kiss.
Please, love me.
I can't suport indifference.
Shut up, my brain.
You hurt my mind.
Suicide is not far away.
Please close your month.
Don't let my heart bleed.
Please, leave me alone.
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Qu'est-ve que cette douleur diffuse dans ma poitrine ? Pourquoi vient-elle me hanter ? Qu'ai-je fais pour mériter cette souffrance lacinante ? d'où vient elle ?
Je ne comprend pas ou cette peine prend sa source. Je ne sais plus qui je suis ni quel est mon but. Je suis perdue. Perdue dans un monde trop grand, trop méchant, trop injuste.
Perdue dans un monde intolérant, ou je ne sens aucune place. Un monde où partout où porte mon regard, je ne vois que la douleur et l'hypocrisie. Je me suis perdue en chemin. Sur le chemin qui mène a la vie d'adulte. Une voie sur laquelle on perd son innocence et sa naïveté, ou on apprend soit disant la maturité, mais surtout sur laquelle on apprend a revêtir un masque qui ne nous quittera plus. Un masque aux apparences de gentillesse et de bon sentiments, de bienveillance et de pardon, qui n'est en fait que flatteries, langues de vipères et coup de poignard par derrière.
L'humain ne fait jamais rien pour rien. Il a toujours une arrière pensée. La nature humaine n'est pas bonne. elle est commandé par nos désirs.
J'ai peur de faire partie de ces humains moi aussi. Je ne veux pas devenir cette bête infâme et vorace sous des traits de bonté. Je ne veux pas devenir un loup pour les autres. Je ne veux pas devenor intolérante et étroite d'esprit.
Je veux me détacher de tout. Regarder le monde d'en haut, comme un spectateur, sans vraiment avoir de prise sur le réel. Juste observer, sans juger, comme on regarde une fourmilière s'activer.
Tout me parait vint. J'ai l'impression de vivre une vie par procuration. Par les autres. Par les histoires. Pas par moi même.
Je voudrait retourner au temps bénis de l'enfance, ou tout était simple, ou rien n'avait réellement d'importance.
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Bon, c'est tout pour ce soir. J'ai écrit à partir de mon téléphone, donc pas de majuscules ni de relecture. A tout les coups j'effacerais ça demain.
Je dédicace mes élucubrations à celles qui savent me remonter le moral quand j'en ai besoin.
Bonne nuit ...
Edit : Bon, j'ai mis des majuscules et j'ai corrigé les fautes. Je le laisse ( en mettant tout sur une seule page et pas trois comme me l'avait obligé facebook mobile) parce que c'est intéressant pour moi de savoir ce qui me passe par la tête quand j'ai le cafard.
Je pense pas que cela plaise à tout le monde, mais c'est pas le but.