Shikayachan

Les écrits de Shik-Aya-Chan

Livre 1

Chapitre 1

Peurs

En sortant du temple je me sentais mieux ... pour 5 minutes. En marchant dans la rue, je sentis les regards des passants qui m'agressaient. Leur surprise, leur dégoût, leur curiosité me blessaient. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Je courus pour renter. Le trajet prenait du temps. Je commençais à voler car les les regards devenaient de moins en moins supportable. Je levitait au dessus des maisons. Mais je fatiguais, malheureusement car j'avais utilisé beaucoup d'énergie ce jour là. J'allais bientôt devoir me poser. J'atterris sur un toit. Je me mis a courir. Cette fois je sautais de toit en toit en levitant pour atteindre ceux qui étaient trop hauts ou trop loin. J'arrivais à la maison essoufflée, vidée, malheureuse. Je posais mon sac dans ma chambre, embrassais mon père, enlaçais ma mère, pris un casse-croûte et allais me réfugier dans ma chambre.
Dans cette atmosphère que j'avais pris soin de créer, je me sentais mieux. Mais je savais parfaitement que tous les sentiments de la journée me retomberai dessus comme un piano sur un chat au milieu de la nuit. Je fis rapidement mes devoirs et essayais de mémoriser quelque villes. J'abandonnais en soupirant.
Je pris une grande feuille de papier et mon fusain et commençais a dessiner mon sujet préféré : les démons. A chaque dessin ils étaient différent, un petit peu ou beaucoup. Forcement : personne ne savait vraiment à quoi ils ressemblai, et donc en comparant mon premier dessin à celui ci on s'apercevrait que presque tout était différent puisque je changeais un détail à chaque fois, et jamais le même au même endroit.
Je dessinai jusqu'au repas. Je feins la bonne humeur pour mes parents mais au fond de moi j'étais quand même triste. De vrai jumeaux étaient arrivés, et moi j'étais toujours le monstre, et ça s'était même accentué. Je réussis à m'endormir mais au milieu de la nuit vers 2 heure du matin, je me réveillai en hurlant presque, au milieu du même rêve : des yeux menaçants, de toute les couleurs qui me regardaient, des voix qui me disaient que j'étais seule, désespérément seule. Ensuite les personnes que j'aimais me regardaient avec des airs de reproches, me tournaient le dos et partaient sans se retourner, sans un regard en arrière. Et moi je ne savais qui rattraper en premier. Je m'écroulais donc, à chaque fois en pleurs pendant que l'obscurité et les ténèbres m'enveloppaient sans pitié.
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En fait c'est plus une de mes peurs qu'autre chose. Le dessin pareil c'est une de mes passions. Ce personnage est peut-etre mon alter-ego, qui sais ;p !
Annexe 7

Monde

Le royaume de Forestia n'est pas très étendu, vous avez vu les grandes lignes de sa composition mais sachez que ce n'était que les villes principales. Il doit en exister, si on les compte toutes, même les plus petites, pas plus de 5 milliers.
Cette zone est très riche en eau et en ressource diverse même si les exploité est dangereux à cause de la faune et des démons. Autour de cette zone, s'étend le désert, ce qui fait de Forestia une sorte de grande Oasis.
Toute mon histoire, dans ce livre, se passera dans cette oasis. Depuis la création de cette forme de vie jusqu'au présent plutôt mouvementé de Ladiella.
Si je fini ce livre, je ferai peut être ensuite une histoire en dehors de cette petite bulle, comme un explorateur qui veux savoir ce qu'il y a après le désert ou le contraire, quelqu'un du dehors qui vient à la rencontre de ce peuple.
Annexe 8

Le Siato

Le siato est une substance rare car difficile a faire. Pour en fabriqué, il faut des feuille morte d'un arbre millénaire (pas trop difficile), des cornes de raguadir réduit en poudre ( c'est un animal féroce, très dangereux, avec des dents acérées et empoisonnées), du métal de fafanou très pur ( le fafanou est extrait des mines mais à l'état pur il est très difficile à avoir), et du sang de deux jumeaux. La suite des opérations est compliquée alors je vais pas le détaillé, mais vous avez compris le principe.
Il est actif sur le peuple du ciel et sur les démons. Normalement chez le peuple du ciel ce n'est utilisé que sur les criminel, et chez les démons sur les prisonniers.
Livre 1

Chapitre 1

Attente

Je relève la tête. Combien de temps ai-je passé à écrire ? D'après la lumière, je dirai 4 bonnes heures. D'autres liasses de papier ont été déposés dans ma cellule sans que je m'en aperçoive. Cela tombe bien j'allai commencer à en manquer.
J'ai une drôle d'impression, comme si quelqu'un m'observait. Ba, soit c'est mon imagination, soit on me surveille de près. Tiens, le siato a perdu de son effet, je peux leviter maintenant, un peu, enfin comme une personne normale quoi. Zut ils ont pensés à tout : la cellule est basse de plafond et la porte est en bois de zablub, je ne peux donc rien faire. Tant pis c'est pas comme ça que je m'échapperais.
Ha non, c'était pas mon imagination, il y avait bien quelqu'un qui m'observait. Ce quelqu'un est allé prévenir un autre quelqu'un que j'avais fini de gribouiller et ce dernier quelqu'un vient me rendre visite. On ouvre la porte. Toujours et encore lui. Je soupire. Il me demande si c'était bon (mon repas), je lui répond par un haussement d'épaule. Il me demande s'il peut lire ce que j'ai écrit. Je lui répond que ce n'est pas une question et qu'il ne me demande pas mon avis ni mon autorisation puisqu'il le tient déjà dans ses mains. Il sourit. C'est rare chez lui. Je lui demande simplement de me laisser le manuscrit pour correction éventuelle. Il acquiesce. On apporte un fauteuil dans la cellule où il s'assoit nonchalamment.
Et moi je suis sensée faire quoi ? Le regarder sans broncher, en attendant qu'il ai finit et qu'il me donne ses commentaire ? Pffff, j'ai plus qu'à rester assise et à attendre. Il n'aime pas être dérangé.
Je commence à chanter. Il me regarde et baisse les yeux vers le passage qu'il est en train de lire. C'est la chanson que Galba et moi avions inventé au collège, en 3ème, avant cette année fatidique. Elle est rigolote et jolie. Un peu bête aussi, mais on était petite à l'époque. Ha Galba, comme je suis fière de toi maintenant. Et toi qui ne sais jamais si je suis morte ou en vie.
J'enchaîne sur une chanson plus triste que Diane m'avait apprise. Elle est triste et mélancolique, mais d'une irrésistible beauté. Tu me manque Diane. Si je pouvais faire quoi que se soit pour que tu sois là, je le ferais, et j'espère qu'il le sait.
Il a enfin fini de lire. Il paraît plutôt content. S'il croit avoir les infos qu'il cherche avec la suite il se trompe. Il me rend mes papiers et sort. Bizarre, j'aurai juré qu'il avait quelque chose à me dire .
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Voili voilou, aujourd'hui j'ai mis 8 articles dont la moitié contient du texte intérressant pour vous. Alors content hein ? Ca compense pour la lenteur de d'habitude.
Livre 1

Chapitre 2


Seules ?

Âpres une bonne nuit de sommeil, heu non mauvaise en fait. La paille était humide et elle grattait, en plus le sol était dur. Çà pue et j'ai tout le temps l'impression d'être observé. Et en plus je peux toujours pas me servir de ma lévitation. Son siato doit être vachement concentré. Pfff y'a même pas de quoi me laver. Et je fait quoi, moi, toute la sainte journée toute seule enfermée dans ma cellule ? En plus je suis sure qu'il va se passer quelque chose. Je crois vraiment qu'il a voulu me le dire. Tiens, je vais taper sur la porte jusqu'à ce que quelqu'un vienne. Ou me mettre à brailler, comme ça, je verrai si il y a d'autre personnes (mes amis peut-être) dans les autre cellules, ou si je suis isolée. Non je vais chanter. On me disais souvent que j'avais une belle voix (j'ai jamais su si s'était vrai ou si on me disais ça pour me faire plaisir). Bon maintenant, faut choisir une chanson. Peut-être une chanson cochonne que tout le monde connait? Au moins on saurai si je suis seule ou pas, si jamais on chante avec moi. Mouai, mais je risque de me faire disputer (pour le moins) par les gardiens. Ou alors une comptine qu'on m'a appris à l'école ? Non trop infantile. Une épopée alors. C'est long et joli en général. Ouai, ça, ça irai bien. Le chant d'Eldarin ça a la classe.

Allez hop, c'est parti !
C'est l'histoire d'Eldarin, le merveilleux héros
Le premier qui connu la gloire et un long repos
A la fin de sa vie, qui fut très bien remplie.
Il sommeil en l'histoire où désormais il git.
Son histoire commença près de Linéatou
Où sa mère donna le vie à ce garçon roux
Malin comme un singe, rusé comme un renard
Il aimait regarder les étoiles le soir.
Au sein du clan des ombelles, dont il fut l'héritier
Il se fit des amis au c½ur fier et carré,
Croyant en lui comme des fidèle en leurs dieux.
Il rassembla une armée, pour réunir les clans,
Violent, renégat qui ne juraient que par leurs rangs.


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Désolée c'est super moche mais j'ai aucun talent pour la poésie ( je fait remarquer que c'est en alexandrin avec hémistiche et en rime, c'est pas très joli mais au moins je l'ai bossée [ désolée pour la rime "carré" mais je trouvais aucun autre adjectif qui pouvait convenir] ). Je vais rajouter un ou deux autre article au présent, parce que ce passage est plutôt long, et il se passe quelque trucs relativement important.

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